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  • courtiers…

    A courtier (/ˈkɔːrtiər/) is a person who attends the royal court of a monarch or other royalty.[1] The earliest historical examples of courtiers were part of the retinues of rulers. Historically the court was the centre of government as well as the official residence of the monarch, and the social and political life were often completely mixed together.

    Monarchs very often expected the more important nobles to spend much of the year in attendance on them at court. Not all courtiers were noble, as they included clergy, soldiers, clerks, secretaries, agents and middlemen with business at court. All those who held a court appointment could be called courtiers but not all courtiers held positions at court. Those personal favourites without business around the monarch, sometimes called the camarilla, were also considered courtiers. As social divisions became more rigid, a divide, barely present in Antiquity or the Middle Ages, opened between menial servants and other classes at court, although Alexandre Bontemps, the head valet de chambre of Louis XIV, was a late example of a “menial” who managed to establish his family in the nobility.[2] The key commodities for a courtier were access and information, and a large court operated at many levels: many successful careers at court involved no direct contact with the monarch.

    Madame de Pompadour was a French royal mistress.
    The largest and most famous European court was that of the Palace of Versailles at its peak, although the Forbidden City of Beijing was even larger and more isolated from national life. Very similar features marked the courts of all very large monarchies, including in India, Topkapı Palace in Istanbul, Ancient Rome, Byzantium or the Caliphs of Baghdad or Cairo. Early medieval European courts frequently travelled from place to place following the monarch as they travelled. This was particularly the case in the early French court. But, the European nobility generally had independent power and was less controlled by the monarch until around the 18th century, which gave European court life greater complexity.

    The earliest courtiers coincide with the development of definable courts beyond the rudimentary entourages or retinues of rulers. There were probably courtiers in the courts of the Akkadian Empire where there is evidence of court appointments such as that of cup-bearer which was one of the earliest court appointments and remained a position at courts for thousands of years.[3] Two of the earliest titles referring to the general concept of a courtier were likely the ša rēsi and mazzāz pāni of the Neo-Assyrian Empire.[4] In Ancient Egypt a title has been found that translates to high steward or great overseer of the house.[5]

    The courts influenced by the court of the Neo-Assyrian Empire such as those of the Median Empire and the Achaemenid Empire had numerous courtiers [6][7] After invading the Achaemenid Empire, Alexander the Great returned with the concept of the complex court featuring a variety of courtiers to the Kingdom of Macedonia and Hellenistic Greece.[8]

    The imperial court of the Byzantine Empire at Constantinople would eventually contain at least a thousand courtiers.[9] The court’s systems became prevalent in other courts such as those in the Balkan states, the Ottoman Empire and Russia.[10] Byzantinism is a term that was coined for this spread of the Byzantine system in the 19th century.

    Als Höfling, Hofdame, Hofmann oder Kurtisane bzw. Kurtisan[1] (lat. curtiens) bezeichnet man eine meist adlige Person der höfischen Gesellschaft der Vormoderne, die also im mittelalterlichen oder frühneuzeitlichen Hofstaat eines monarchischen Herrschers auf Dauer anwesend war und oft bestimmte Funktionen oder Ämter ausübte. Ursprünglich bildete der Hof das Machtzentrum der Regierung und war der Regierungssitz des Monarchen, weshalb den Höflingen auch politische Funktionen zukommen konnten.

    Einen weiblichen Höfling nannte man Hofdame oder Kurtisane, wobei sich Letzteres später auf die Bezeichnung für die Geliebte eines Fürsten verengt hat (siehe auch Mätresse).[1]

    Die Höflinge befanden sich in einer ständigen Konkurrenz um die Gunst des Monarchen (siehe Günstling) und dadurch in ständiger Beobachtung, was Norbert Elias in seiner klassischen Untersuchung der höfischen Gesellschaft herausgestellt hat (Königsmechanismus).[2] Diese Situation sorgte für besonders strenge Anforderungen an äußerlich sichtbare Formen, Handlungen und Sprechweisen, was in der Hofkritik häufig zum Vorwurf der Unaufrichtigkeit und Verstellung geführt hat.[3]

    Die Verhaltensmerkmale, die ein Höfling idealerweise aufzuweisen hatte, wurden im Laufe der Zeit immer stärker verfeinert und standardisiert. Eine europaweit wirksame Schrift, die dieses Ideal erstmals weithin verbindlich zu einem Habitus-Muster zusammenfasste, war Il Libro del Cortegiano, das Buch vom Hofmann Baldassare Castigliones (gedruckt 1528).

    Un courtisan ou une courtisane est étymologiquement une personne, souvent de haut-rang, attachée à la cour du souverain et dont il partage parfois l’entourage. La signification de ces deux termes a cependant évolué de façon bien différente : « courtisan » désigne généralement un homme de cour soucieux de plaire jusqu’à l’obséquiosité, alors que « courtisane » désigne en général une prostituée de luxe ou une demi-mondaine.

    Au contraire de la courtisane, le courtisan n’a aucun rapport avec la prostitution.

    Un courtisan est un homme souvent haut placé, par sa fortune ou sa naissance, et qui fréquente la cour, ou est attaché à la cour au service d’un souverain (prince, roi, empereur, voire président ou encore pape). Pour garder son influence et les bonnes grâces de son souverain, il le courtise et cherche à lui plaire, notamment par des manières obséquieuses et flatteuses. Soucieux avant tout de complaire à celui auquel il s’attache, le courtisan lui dit souvent « oui » sans se soucier du bien-fondé de ce qu’il peut dire. Le comportement idéal et l’ethos du courtisan est présenté avec soin dans le manuel de savoir vivre, Le Livre du courtisan que l’on doit à Baldassare Castiglione (1528).

    Le terme de courtisan ou de courtisane a évolué pour prendre plusieurs sens, pouvant désigner, au féminin, une prostituée ou simplement une concubine, ou encore, par exemple dans le Discours de la servitude volontaire d’Étienne de La Boétie celui (ou celle) qui s’asservit au souverain, devenant ses yeux et ses oreilles, devançant ses désirs (voir citation ci-dessous).

    « Le laboureur ou l’artisan, pour tant asservis qu’ils soient, en sont quittes en obéissant ; mais le tyran voit ceux qui l’entourent, coquinant et mendiant sa faveur. Il ne faut pas seulement qu’ils fassent ce qu’il ordonne, mais aussi qu’ils pensent ce qu’il veut, et souvent même, pour le satisfaire, qu’ils préviennent aussi ses propres désirs. Ce n’est pas tout de lui obéir, il faut lui complaire, il faut qu’ils se rompent, se tourmentent, se tuent à traiter ses affaires et puisqu’ils ne se plaisent que de son plaisir, qu’ils sacrifient leur goût au sien, forcent leur tempérament et le dépouillent de leur naturel. Il faut qu’ils soient continuellement attentifs à ses paroles, à sa voix, à ses regards, à ses moindres gestes : que leurs yeux, leurs pieds, leurs mains soient continuellement occupés à suivre ou imiter tous ses mouvements, épier et deviner ses volontés et découvrir ses plus secrètes pensées. Est-ce là vivre heureusement ? Est-ce même vivre ? Est-il rien au monde de plus insupportable que cet état, je ne dis pas pour tout homme bien né, mais encore pour celui qui n’a que le gros bon sens, ou même figure d’homme ? Quelle condition est plus misérable que celle de vivre ainsi n’ayant rien à soi et tenant d’un autre son aise, sa liberté, son corps et sa vie ! »

    — Étienne de La Boétie, Discours de la servitude volontaire ou Contr’Un (traduction française moderne Payot 1976)

    Le mot « courtisane » peut être employé comme un euphémisme pour désigner une prostituée de luxe. Il a notamment été employé dans ce sens du xviiie siècle jusqu’au milieu du xxe siècle, de même que celui de cocotte, particulièrement en vogue sous le Second Empire, ou le terme plus élégant de demi-mondaine.

    Cet emploi semble venir du fait que les femmes haut placées à la cour des rois de France ont souvent été les maîtresses du souverain, d’où un glissement de sens de « courtisane » à « maîtresse intéressée », puis prostituée.

    « Courtisane » conserve cependant une connotation luxueuse qui en fait une catégorie à part dans le monde de la prostitution. Ainsi, Cora Pearl (1835-1886) entretenait une liaison avec le duc de Morny et Laure Hayman (1851-1932), avec le roi de Grèce ou l’écrivain Paul Bourget.

    La différence entre une prostituée et une courtisane tient à ce que celles-ci acquièrent souvent une « couverture » mondaine ou artistique plus en vue (écrivain, sculpteur, poétesse, actrice, chanteuse…), à l’instar des oiran du Japon. Elles vivaient avec des hommes célèbres (écrivains, artistes…), politiques, riches hommes d’affaires, nobles (prince, comte, roi, empereur), hommes d’Église, etc. Certaines courtisanes ont eu une influence bien supérieure à leur statut, auprès des hommes qui les entretenaient.

    L’argent, la célébrité, les titres de noblesse et une reconnaissance sociale restent l’objectif premier de la courtisane qui veut faire oublier ce passé érotique, elles représenteraient pour certains le côté romantique et idéalisé de la prostitution, alors que les autres « prostituées » vont avec le peuple, les soldats… et meurent souvent sans argent et de maladies sexuellement transmissibles. C’est pourquoi elles ne sont pas considérées comme courtisanes.

    Certains nobles aux xviiie et xixe siècles racontent avoir été ruinés par des courtisanes.

    Dans l’empire byzantin, l’histrion et la comédienne devaient obligatoirement accomplir ce métier réputé infâme jusqu’à la fin de leur vie, sans pouvoir le quitter, malgré leur honte ou leur remords. Saint Jean Chrysostome1 raconte ainsi la conversion d’une courtisane fameuse qui se fit religieuse dans un couvent : « Je me souviens que lorsque j’étais jeune, une célèbre courtisane de Phénicie paraissait sur le théâtre avec grand éclat et qu’on ne parlait que d’elle, non seulement en ce pays, mais dans toute la Cilicie et la Cappadoce. On sait combien de familles elle a ruinées, et combien de jeunes hommes elle a surpris. On dit même qu’elle usait de la magie, et que, comme si sa beauté naturelle n’eût pas suffi pour corrompre assez de personnes, elle y ajoutait ces détestables artifices pour enchanter les hommes de son amour. Le frère de l’impératrice même s’y laissa surprendre, tant il était difficile de se défendre de ce piège du démon. Sa conversion fut si sincère qu’elle ne revint jamais plus à son passé. Le préfet de la ville envoya des gens armés pour se saisir de sa personne ; mais ils ne purent jamais la retirer du milieu d’une troupe de pieuses vierges qui l’avaient reçue.2 »

    Rhodope (vie siècle av. J.-C.), hétaïre grecque
    Thargélia (vie – ve siècles av. J.-C.), hétaïre grecque
    Ambapali (vie – ve siècles av. J.-C.), nagarvadhu et arhat indienne
    Aspasie (470 av. J.C.- 400 av. J.C.), hétaïre grecque
    Laïs de Corinthe (?-340 av. J.C.), hétaïre grecque
    Thaïs (400 av. J.C.-?), hétaïre grecque
    Lamia (340 av. J.C-?), hétaïre grecque
    Phryné (ive siècle av. J.-C.), hétaïre grecque
    Nééra (ive siècle av. J.-C.), hétaïre grecque
    Nicarète de Mégare (ive siècle av. J.-C.), hétaïre et philosophe grecque
    Léontion (iiie siècle av. J.-C.), hétaïre et philosophe grecque
    Bilistiche (iiie siècle av. J.-C.), hétaïre grecque
    Messaline (20-48), épouse de l’empereur romain Claude
    Afre d’Augsbourg (?-304), prostituée et martyre chrétienne
    Théodora (500-548), épouse de l’empereur byzantin Justinien
    Du Moyen Âge à la fin du xviie siècle
    Li Ye (?-784), courtisane et poétesse chinoise
    Xue Tao (770-832), courtisane et poétesse chinoise
    Yu Xuanji (844-871), courtisane et poétesse chinoise
    Dame Ise (875-938), concubine de l’empereur Uda et poétesse japonaise
    Li shishi (? – ?) Courtisane chinoise sous l’empire de la dynastie Song (960 – 1279)
    Jane Shore (1445-1527), maîtresse du roi d’Angleterre Édouard IV
    Imperia (1486-1522), courtisane italienne
    Hwang Jini (1506-1560), gisaeng et poétesse coréenne
    Tullia d’Aragon (1510-1556), courtisane et philosophe italienne
    Veronica Franco (1546-1591), courtisane et poétesse italienne
    Ma Shouzhen (1548-1604), courtisane et peintre chinoise
    Xue Susu (1564-1650), courtisane et peintre chinoise
    Fillide Melandroni (1581-1618), courtisane et modèle italien
    Wang Wei (1597-1647), courtisane et écrivaine chinoise
    Li Yin (1610/1616-1685), courtisane et peintre chinoise
    Marion Delorme (1613-1650), courtisane française
    Liu Rushi (1618-1664), courtisane et poète chinoise
    Gu Mei (1619-1663/1664), courtisane et peintre chinoise
    Ninon de Lenclos (1620-1705), courtisane et salonnière française
    Lucy Walter (1630-1658), maîtresse du roi d’Angleterre Charles II
    Nell Gwynne (1650-1687), maîtresse du roi d’Angleterre Charles II
    Du xviiie au xxe siècle
    Justine Paris (1705-1774), courtisane et entremetteuse française
    Marguerite Gourdan (1727-1783), courtisane et entremetteuse française
    Marie-Louise O’Murphy (1737-1814), maîtresse du roi de France Louis XV
    Sophie Arnould (1740-1802), actrice française
    Madame du Barry (1743-1793), courtisane puis favorite du roi de France Louis XV
    Marie-Madeleine Guimard (1743-1816), courtisane et danseuse française
    Rosalie Duthé (1748-1830), courtisane française
    Begum Samru (1750-1836), courtisane et souveraine de Sardhana
    Anne-Victoire Dervieux (1752-1826), courtisane et chanteuse d’opéra française
    Grace Elliott (1754-1823), maîtresse de Louis-Philippe d’Orléans
    Dorothea Jordan (1761-1816), actrice, maîtresse du roi du Royaume-Uni Guillaume IV
    Emma Hamilton (1765-1815), courtisane et maîtresse d’Horatio Nelson
    Mademoiselle Lange (1772-1816), courtisane et actrice française
    Ida Saint-Elme (1778-1845), courtisane et aventurière néerlandaise
    Sophie Dawes (1790-1840), courtisane et maîtresse de Louis VI Henri de Bourbon-Condé
    Jane Digby (1807-1881), aristocrate et aventurière anglaise
    La Païva (1819-1884), demi-mondaine française
    Lola Montez (1821-1861), danseuse et courtisane irlandaise
    Apollonie Sabatier (1822-1890), courtisane et peintre française
    Marie Duplessis (1824-1847), courtisane française
    La Reine Pomaré (1825-1846), danseuse et courtisane française
    Constance Quéniaux (1832-1908), danseuse et modèle français
    Cora Pearl (1835-1886), demi-mondaine anglaise
    Virginia de Castiglione (1837-1899), aristocrate et espionne piémontaise
    Jeanne Detourbay (1837-1908), courtisane et salonnière française
    Marguerite Bellanger (1838-1886), actrice et maîtresse de Napoléon III
    Blanche d’Antigny (1840-1874), actrice et demi-mondaine française
    Athalie Manvoy (1843-1887), actrice et demi-mondaine française
    Valtesse de la Bigne (1848-1910), demi-mondaine française
    Méry Laurent (1849-1900), salonnière et demi-mondaine française
    Laure Hayman (1851-1939), salonnière et demi-mondaine française
    Berthe de Courrière (1852-1916), demi-mondaine française
    Lillie Langtry (1853-1929), actrice britannique
    Eugénie Fougère (1861-1903), courtisane française
    Marthe de Florian (1864-1939), demi-mondaine française
    Caroline Otero (1868-1965), danseuse et demi-mondaine française
    Alice Keppel (1868-1947), maîtresse du roi du Royaume-Uni Édouard VII
    Marguerite Steinheil (1869-1954), salonnière et demi-mondaine française
    Liane de Pougy (1869-1950), écrivaine et demi-mondaine française
    Émilienne d’Alençon (1870-1945), demi-mondaine française
    Sai Jinhua (1874-1936), courtisane chinoise
    Mata Hari (1876-1917), danseuse et espionne néerlandaise
    Mathilde Kschessinska (1872-1971), ballerine russe
    Geneviève Lantelme (1883-1911), courtisane et actrice française

    La corte, generalmente real o noble (Del lat. cors, cortis, o cohors, cohortis, cohorte), es un grupo de personas no necesariamente la familia y otras personas que acompañan habitualmente al rey o al noble.1​ En realidad, es un instrumento de gobierno más amplio que una corte de justicia, pues comprende un extenso grupo de personas centradas en un patrón que los gobierna por la ley. Un regente o virrey puede encargarse de la Corte por motivos de ausencia, minoridad o vacante de un soberano hereditario, e incluso un jefe de Estado electo puede desarrollar un entorno de tipo cortesano a través de asesores y “compañeros” no oficiales, elegidos personalmente, una posición elevada a estatus semioficial en el entorno de Alejandro Magno, basado en las convenciones persas. (Fox, 1973)

    Los “compañeros” del rey en Inglaterra y Francia eran quienes “compartían el pan” y la mesa, y de hecho la Corte es una extensión de la “familia” de un gran personaje. Allí donde los miembros de la “familia” (no ligados forzosamente por lazos de sangre) y los burócratas de la administración coinciden en cuanto a personal, se puede hablar de una “Corte”, bien sea en la Persia aqueménida, la China de la Dinastía Ming, la Sicilia normanda o el Papado antes de 1870 (véase Curia) o el Imperio austrohúngaro. Un grupo de individuos dependientes del patronazgo de un gran hombre, como ocurrió de forma clásica en la Roma antigua, forma parte del sistema de “clientelismo”, discutido en el artículo sobre vasallaje.

    Cada gobernante difería mucho en cuanto a gustos e intereses, así como en habilidades políticas y situaciones constitucionales. En consecuencia, algunos fundaron elaboradas cortes basadas en nuevos palacios, para que sus sucesores se retiraran a castillos remotos o a nuevos y prácticos centros administrativos. Retiros personales podían surgir lejos de los centros oficiales de la Corte.

    La etiqueta y la jerarquía florecen en ambientes con una Corte altamente estructurada y pueden dejar rasgos conservadores a través de las generaciones.

    Después del colapso del Imperio romano de Occidente, una verdadera cultura de Corte puede ser reconocida en el entorno del ostrogodo Teodorico el Grande y en la Corte de Carlomagno. En el este romano, una brillante Corte continuó rodeando a los emperadores bizantinos.

    En Europa Occidental, la consolidación del poder de los magnates locales y de los reyes en centros administrativos fijos desde mitad del siglo XIII llevó a la creación de una distintiva cultura de Corte, que fue el centro del patronazgo intelectual y artístico que rivalizaban con los abades y obispos, adicionalmente a su rol como ápice de una rudimentaria burocracia política que rivalizaba a las cortes de los condes y duques. Las dinámicas de la jerarquía soldaron las culturas de cortes juntas.

    Las cortes locales proliferaron en las políticas astilladas de la Europa medieval y permanecieron en tiempos modernos en Alemania y en Italia. Tales cortes se volvieron conocidas por la intriga y las políticas de poder; algunas también ganaron prominencia como centros y patrones colectivos de artes y cultura. En la España medieval (Castilla), se crearon cortes provinciales. La nobleza menor y la burguesía se aliaron para crear un sistema que se opusiera a la monarquía en muchos temas políticos. Se llamaban las Cortes de Castilla. Esas cortes son la raíz del congreso y senado españoles.

    Como las funciones políticas ejecutivas generalmente se movían a bases democráticas, las cortes nobles vieron sus funciones reducidas una vez más a casas nobles, concentrándose en el servicio personal a la cabeza de la casa, ceremoniales y tal vez con funciones residuales de consejero político. Si el celo republicano ha desaparecido en un territorio antes gobernado por la nobleza, las cortes pueden sobrevivir en el exilio.

    Los oficiales de la Corte o titulares de cargo (un tipo de cortesano) obtenían sus posiciones y mantenían los títulos de sus funciones originales dentro de las casas nobles. Con el tiempo tales funciones se volvieron arcaicas, pero los títulos sobrevivieron envolviendo los espíritus de las funciones arcanas, generalmente datando de los días cuando una casa noble tenía preocupaciones prácticas y mundanas, así como de política y cultura. Tales asignaciones de la Corte tienen sus historias. Incluyen:

    Mayordomo
    Chambelán
    Canciller
    Maestro de Capilla
    Capellán
    Condestable
    Escanciador
    Senescal
    Ujier
    Cetrería
    Bufón
    Sumiller de Cámara
    Gran Limosnero
    Gran Maestre
    Consejero
    Grandes oficiales
    Mozo del bacín
    Intendente de la lista civil
    Guardián del sello
    Dama de compañía
    Magister Equitum
    Maestro de caza
    Mariscal
    Secretario
    Abanderado
    Estatúder

    Debido a que la palabra alemana hof, significando un patio cerrado, puede aplicarse a una alquería con edificios exteriores y con paredes formando el perímetro, se ha usado asimismo para la sede donde la Corte se ubicaba. Por tal motivo hof, court o “corte” también puede aplicarse al edificio mismo. Por ejemplo, aunque la gran residencia de Hampton Court en el Río Támesis, más arriba de Londres, ha sido un palacio, donde Thomas Wolsey mantuvo a su Corte como cardenal católico (construido siguiendo la fascinación italiana para el palacio del cardenal) hasta su caída y su confiscación por Enrique VIII y donde Guillermo y María mantuvieron a la suya, 1689-94. Aunque fue construida alrededor de dos patios principales – la estructura en sí-, ya no es la sede de una corte como tal.

    Como un ejemplo, los embajadores en el Reino Unido todavía están acreditados ante la Corte de San Jacobo y los cortesanos de la monarquía aún tienen oficinas en el Palacio de St. James, Londres. El monarca presente, sin embargo, mantiene a su Corte en el Palacio de Buckingham, donde se recibe a los dignatarios.

    Algunas antiguas sedes de poder (ver residencia oficial):

    Alhambra en Granada, sede de la última dinastía musulmana en la actual España.
    La Ciudad Prohibida, complejo palacio imperial en Pekín.
    El Castillo Wawel (Cracovia) y el Castillo Real en Varsovia, Polonia.
    El Palacio de Versalles cerca de París en Francia.
    El Palacio de Sanssouci en Potsdam cerca de Berlín.
    La Vaticano en los Estados Pontificios.
    Urbino, sede del ducado de Marcas.

    Además de referirse a una dama que vivía o servía en la Corte, el término cortesana en Occidente también es el nombre para las prostitutas de lujo, cuyos caros servicios solo podían permitirse hombres poderosos o adinerados.2​ Al principio aludía a las amantes que algunos reyes mantenían en palacio y, por extensión, desde el siglo XVIII se convirtió en sinónimo de prostituta de lujo. Célebres cortesanas fueron las emperatrices Mesalina y Teodora, Madame du Barry, amante del rey Luis XV en el siglo XVIII, Marie Duplessis y Lola Montez en el siglo XIX y Liane de Pougy, La Bella Otero y Mata Hari durante la Belle Epoque.

    O cortesão (play /ˈkɔːrtiə/; francês: [kuʁtje]) é uma pessoa que está frequentemente presente na corte nobre de um rei ou outra personagem real.[1] De forma geral, se trata do homem que compõe uma corte. Este pode exercer diversas funções, desde entreter o rei com músicas, conversas, facécias, jogos e danças, a exercer cargos diplomáticos, dar conselhos e ajudar na formação do príncipe. A mulher que tem tais funções é uma dama palaciana, devido ao sentido pejorativo agregado à ideia de cortesã.

    Apesar de já existir há muito tempo, a imagem do cortesão – e suas diversas características ideais – foi construída de forma intensa a partir do Renascimento. Isso porque foi nesse período que Baldassare Castiglione escreveu “O Cortesão” (Il Libro del Cortegiano) onde se narram as discussões ocorridas na corte de Urbino acerca do cortesão perfeito.

    “O Cortesão” é composto por 4 livros, sendo que cada um narra uma noite dos diálogos ocorridos na corte de Urbino, na Itália.

    Nos 2 primeiros há a construção do cortesão ideal e todos os seus atributos, sejam eles físicos, espirituais, artísticos, musicais, humorísticos, entre outros. No terceiro livro, devido a uma discussão acerca dos valores, capacidades e atributos das mulheres, há a construção da imagem da dama palaciana ideal. Essa parte do livro é marcada por uma discussão calorosa em que se propõe tanto que a mulher é um ser inferior, desvirtuado e impuro, quanto que é o oposto. No quarto livro há a idealização do “príncipe”, ou governante ideal.

    O livro exerceu uma grande influência na formação de cortes pela Europa, e é um documento que é rico em informações sobre a mentalidade, a estética e o gosto Renascentista.

    Cortesã, conforme os usos do século XVI, era termo utilizado para referir-se às amantes que se associavam aos ricos e poderosos nobres que as proviam de luxo e bem-estar, assim como status junto à corte, em troca de sua companhia e seus favores. A própria palavra cortesã está indissoluvelmente associada à palavra corte, como sinônimo dos nobres que podiam ter contato direto com a realeza.[carece de fontes]

    Durante o período da Renascença Europeia, as cortesãs desempenharam papel importante nas classes mais altas, muitas vezes substituindo a esposa legítima em eventos sociais. Era relativamente comum, naquela época, que maridos e esposas nobres vivessem separadamente, mantendo o casamento apenas por questões de linhagem sanguínea e preservação de alianças políticas, e que os maridos procurassem a companhia agradável e satisfação sexual nas cortesãs.[1]

    O termo cortesia, no âmbito do comportamento humano, refere-se a qualidade de uma pessoa que é cortês.[1][2] Pode significar uma maneira delicada e civilizada de agir, cumprimentar ou mesmo um gesto de doação ou favor para outra pessoa. Cortesia também pode ser dar prioridade à maneira de expressão, ação e gestos de outrem e esperar momento oportuno para expor e defender suas convicções, concordando ou discordando gentilmente. A expressão popular “fazer cortesia com chapéu alheio’ é utilizada pejorativamente quando se consegue admiração de um ato às custas de outrem (respeito).